Après la dépêche qui avait été diffusé samedi matin par l'Agence de Presse "Reuters", dans laquelle elle a indiqué que des responsables américains ont déclaré que les autorités tunisiennes « avaient accepté que des agents du FBI puissent procéder à l'interrogatoire d'un activiste islamiste détenu en Tunisie et soupçonné d'avoir participé aux attaques contre le consulat américain à Benghazi le 11 septembre dernier », le gouvernement tunisien a précisé que cette information manque de précisions.
Le Gouvernement provisoire a indiqué que telle qu’éditer l’information viserait à conférer un caractère politique aux procédures judiciaires, en application d'une commission rogatoire entre les deux Etats ».
Le gouvernement précise, dans son communiqué, que la coopération judiciaire entre la Tunisie et les Etats-Unis d'Amérique dans cette affaire comme dans d'autres « repose sur les dispositions des conventions internationales, régionales et bilatérales, ainsi que sur les exigences de la législation tunisienne, dans le cadre du respect de la souveraineté nationale et de la concrétisation de la collaboration entre les Etats dans la lutte contre le crime et dans l'identification, la poursuite et la sanction de ses auteurs ».
Le gouvernement précise, dans son communiqué, que la coopération judiciaire entre la Tunisie et les Etats-Unis d'Amérique dans cette affaire comme dans d'autres « repose sur les dispositions des conventions internationales, régionales et bilatérales, ainsi que sur les exigences de la législation tunisienne, dans le cadre du respect de la souveraineté nationale et de la concrétisation de la collaboration entre les Etats dans la lutte contre le crime et dans l'identification, la poursuite et la sanction de ses auteurs ».
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